TAG Heuer révèle la nouvelle Monaco édition limitée au Mans

Communiqué de presse

TAG Heuer révèle la nouvelle Monaco édition limitée au Mans

Les moteurs se sont fait entendre au Mans, ce week-end, mais pas seulement. Les amateurs de montres ont aussi pu découvrir la dernière édition anniversaire de la Monaco. Le cadre pour dévoiler cette pièce exclusive n'aurait pas pu être plus approprié : dans le film Le Mans de 1971, l'acteur et «King of Cool» Steve McQueen arborait ce mythique chronographe à son poignet, lui assurant ainsi une place importante dans l'histoire horlogère. En hommage aux débuts cinématographiques de ce garde-temps, les invités - dont Chad McQueen, le fils de Steve McQueen - ont assisté à une projection spéciale du célèbre film à l’endroit où tout a commencé.
 

La Monaco embarquait un design et une technologie en complète rupture avec son époque. Il s’agissait non seulement de la toute première montre carrée résistante à l'eau, mais aussi de la première à proposer un mouvement de chronographe à remontage automatique.
 

À l’occasion du 50ème anniversaire de la Monaco, cinq éditions limitées seront révélées successivement au cours de l’année. Ces nouveaux modèles s'inspirent des différentes décennies de 1969 à 2019 et rendent hommage à une icône du style plus contemporaine que jamais. Ces éditions spéciales rendent hommage au design intemporel de la Monaco et à l’ADN Avant-Garde de TAG Heuer.
 

Après la révélation du premier modèle, s’inspirant des années 1969-1979, au Grand Prix de Monaco en mai, TAG Heuer était fier de dévoiler la deuxième édition limitée célébrant la décennie 1979-1989 au Mans.

Course endiablée à travers les années 80

Le deuxième modèle anniversaire révèle un design enflammé avec un cadran rouge audacieux, synonyme de vitesse de pointe et de victoire en course. Présentée sur un bracelet en cuir noir perforé, doublé de rouge, cette édition spéciale représente vitesse et style.

Ce modèle en acier, avec son boîtier carré emblématique, est doté d'un cadran rouge soleillé et de deux sous-cadrans rhodiés aux bords incurvés. Des touches noires et blanches ponctuent le cadran et correspondent aux aiguilles des heures et des minutes. Du Super-Luminova® revêt les index et les aiguilles pour une meilleure lisibilité.
 

Tout comme l’originale, les boutons poussoirs se trouvent du côté droit du boîtier tandis que la couronne se trouve à gauche - une caractéristique non conventionnelle qui a permis à la Monaco de se distinguer au cours de ces 50 dernières années.

Le fond de cette édition inspirée des années 1980 est gravé du logo « Monaco Heuer » ainsi que des mentions : « 1979-1989 Special Edition et « One of 169 ». Arborant un design inspiré du modèle original, le fond en acier présente des motifs brossés. Le célèbre Calibre 11, version moderne du mouvement chronographe à remontage automatique qui a fait ses débuts dans la Monaco d'origine en 1969, se cache en son boîtier. Cette montre est produite en édition limitée à 169 exemplaires.
 

Rétrospective de 50 ans de la TAG Heuer Monaco et du Calibre 11

Le 3 mars 1969, lorsque la Heuer Monaco fut présentée pendant deux conférences simultanées à New York et à Genève (à l’époque, TAG ne faisait pas encore partie du nom de l’entreprise), les journalistes et amateurs d’horlogerie du monde entier furent ébahis. Chaque détail de conception du modèle est radical, dépassant toutes les montres d’alors en matière de style et de technologie. Le design audacieux et emblématique de la Monaco est immédiatement reconnaissable, avec son boîtier carré et étanche, jamais vu jusqu’alors.
 

Cette caractéristique représentait le complément parfait à la technologie avancée que présentait l’horloger suisse avec ce modèle. Développé et commercialisé par Heuer, le Calibre 11 fut le premier mouvement de chronographe à remontage automatique au monde. Le PDG de Heuer de l’époque, Jack Heuer, était convaincu que cette innovation révolutionnaire exigeait un design qui retienne toute l’attention. La Monaco réunit tous ces critères. Un an après son lancement, la Monaco s’affichait au poignet de l’ambassadeur de la marque et pilote Jo Siffert. En 1971, elle brillait sous les projecteurs avec Steve McQueen, dans le film Le Mans.

TAG Heuer et Le Mans

Était-ce de la chance ou était-ce le destin ? Quand Jack Heuer explique la raison de la création de ce premier chronographe automatique, appelé Chronomatic en 1969, il est catégorique ; ce n’était pas qu’une question de chance, mais bien une volonté de répondre à un besoin évident sur le marché des chronographes. "Mais si la Monaco est une première dans sa conception, son succès est dû presque entièrement à la chance", déclare-t-il.

C’est en raison des faibles ventes de ce modèle trop en avance sur son temps, qu’Heuer a été en mesure d’envoyer six chronographes identiques (en plus des chronomètres) sur le tournage du film Le Mans. Si en 1970 la Monaco n’était pas un succès commercial, aujourd’hui grâce au choix de Steve McQueen elle est entrée dans la légende. Jack Heuer dit lui-même qu’il n’aurait jamais pu imaginer que la Monaco rencontre un tel succès et devienne un tel objet de convoitise. Un seul regret ? Quand Jack Heuer s’est rendu sur le tournage du film Le Mans, Steve McQueen n’était pas présent, il n’a donc jamais pu le rencontrer.
 

Une superstar paradoxale

Depuis deux décennies, la Monaco est étroitement liée à la haute horlogerie et compte d’autres versions présentant des complications, des designs et des matériaux nouveaux. Elle a certes évolué, mais la Monaco a gardé son esprit révolutionnaire qui lui a valu les critiques et la célébrité. L’histoire complète de cette icône est racontée dans l’ouvrage Paradoxical Superstar, qui comprend des extraits d’archives et des croquis du design et du mouvement. L’auteur et journaliste britannique Nicholas Foulkes, l’expert horloger Gisbert Brunner et l’auteur américain Michael Clerizo ont chacun contribué au récit par des chapitres capturant l’héritage et l’innovation qui définissent la Monaco. Pour souligner les relations entre le garde-temps et le nom de sa ville, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco a rédigé la préface de Paradoxical Superstar.