Le grand final : TAG Heuer redessine le Garde-Temps Monaco Original pour son 50ème anniversaire

Communiqué de presse

Le grand final : TAG Heuer redessine le Garde-Temps Monaco Original pour son 50ème anniversaire

Chef d’œuvre magistral d’esthétisme et d’artisanat horloger, la Monaco Pièce d’Art est l’hommage le plus exceptionnel rendu à la célèbre collection Monaco, lancée il y a un demi-siècle.

Point d’orgue des célébrations du 50e anniversaire de la Monaco, TAG Heuer a créé la Monaco Pièce d’Art, une montre unique en son genre. Cette version restaurée et agrémentée d’ornements d’un modèle de 1969 de l’icône (référence n° 1133B) sera confiée à Phillips, à New York, à l’occasion de la vente aux enchères de montres Game Changers, le 10 décembre 2019. Les bénéfices de cette vente seront reversés à l’œuvre de bienfaisance américaine United Way of New York City. Engagée pour offrir de meilleures conditions de vie aux enfants et familles défavorisées, TAG Heuer apportera son soutien à la campagne d’éducation ReadNYC de United Way of New York City.
 

Monaco Pièce d’Art

La Monaco Pièce d’Art a été retravaillée par les experts du service après-vente vintage de TAG Heuer. Sélectionnée parmi les collections du Musée TAG Heuer au siège de la marque, à La Chaux-de-Fonds, Suisse, cette montre embarque le calibre 11 original, premier mouvement de chronographe à remontage automatique, lancé pour la Monaco en 1969. Elle présente également le bracelet en acier inoxydable d’origine.
 

« À mesure qu’approchait cette date incontournable, le département Heritage réfléchissait au cadeau que nous pourrions offrir à la Monaco pour son 50e anniversaire. Nous avons choisi de créer une pièce unique : une œuvre d’art en l’honneur de notre icône et en hommage à son caractère exceptionnel. Nous avons démonté et décoré les composants d’origine : une démarche parfaitement inédite », explique la directrice de TAG Heuer Heritage, Catherine Eberlé-Devaux.
 

L’aspect le plus remarquable de ce garde-temps unique est son mouvement décoré, désormais visible à travers le fond transparent. Dans sa première version, le fond était opaque, mais les horlogers talentueux de TAG Heuer ont découpé un cercle dans l’acier inoxydable, qu’ils ont refermé avec une glace saphir. Cette amélioration permet d’admirer librement le mouvement et ses ornements. Les horlogers ont désassemblé le mouvement et ses composants afin de travailler sur chaque pièce du module de chronographe. Ils ont notamment biseauté tous les composants, souligné les pièces par un grenage droit, réalisé un poli miroir sur les surfaces fonctionnelles et les têtes des vis et ajouté trois rubis supplémentaires pour un total de 20 pierres. Les ponts présentent des ornements de la plus grande finesse : gravés à la main dans une police évoquant le style des années 1970, les mots « Cal. eleven » apparaissent sur le pont de chronographe du compteur des minutes et des secondes, tandis que le pont du compteur des heures affiche la mention « Monaco ». Les deux ponts ont été refaits à neuf, car les pièces originales étaient trop fines pour un travail de gravure aussi élaboré. Le disque de la date a également été changé. Il porte désormais des chiffres rouges et non plus noirs.
 

Un artisanat d’une précision incroyable

Décorer un garde-temps à la main exige une maîtrise artisanale du plus haut niveau. Quatre horlogers émérites ont travaillé pendant trois mois à l’élaboration de la Monaco Pièce d’Art. Ils ont même dû concevoir des outils spéciaux pour exécuter des tâches qu’aucun outil existant ne permettait d’accomplir. Les horlogers n’avaient strictement aucun droit à l’erreur, tandis que la décoration devait être réalisée uniquement à la main : une machine eût été incapable d’évaluer la qualité de son travail. Cette dimension humaine a permis aux horlogers de laisser leur marque sur le mouvement, le boîtier et l’esthétique générale de la pièce, développant l’originalité et la valeur du garde-temps final.
 

Résumer une histoire complète dans un écrin de montre

La Monaco Pièce d’Art est présentée dans un écrin spécial en bois orné de laque rouge. Son intérieur en cuir blanc renferme une loupe et le cercle d’acier inoxydable découpé dans le fond de boîtier. On y retrouve également le livret authentique qui accompagnait la montre d’origine. Le fond sophistiqué du modèle est représenté dans une œuvre de l’artiste plasticienne renommée, Julie Kraulis. Le bois de l’écrin se retrouve sur le cadre protégeant son dessin en noir et blanc de 18 × 18 pouces. Un exemplaire de Paradoxical Superstar accompagne cette montre singulière, signé par Jack Heuer, le Président d’honneur de TAG Heuer. L’ouvrage marque le 50e anniversaire de la Monaco. Il réunit des extraits d’archives et des croquis des designs et mouvements de ce garde-temps de légende.
 

Une année de célébrations

Le lancement de ce modèle original suit la présentation de cinq garde-temps Monaco en édition limitée, qui capturent l’essence de chaque décennie depuis la toute première version du modèle. Ces montres ont été présentées une par une lors d’événements exclusifs, tout au long de l’année 2019, dans les plus grandes villes du monde : la première (édition des années 1970) a été présentée lors du Grand Prix de Monaco de Formule 1 ; la deuxième (édition des années 1980) au Mans ; la troisième (édition des années 1990) juste avant le championnat de Formule E à New York ; la quatrième (édition du début des années 2000) lors d’un événement à Tokyo ; la cinquième (édition de 2009 à 2019) au Space Plus de Shanghai.